Entrevue accordée au TJ de radio-canada à propos de l’industrie du sucre le 11 août 2015
Préparation: 15 minutes -Cuisson: 10 minutes -Rendement: 24 biscuits
INGRÉDIENTS
375 ml (1 1/2 tasse) de flocons d’avoine à cuisson rapide
375 ml (1 1/2 tasse) de farine de blé entier
7 ml (1 1/2 c. à thé) de poudre à pâte
3 ml (1/2 c. à thé) de cannelle moulue
Une pincée de sel
80 ml (1/3 tasse) de beurre (non salée ou mi-salé), ramolli
125 ml (1/2 tasse) de cassonade, non tassée
2 oeufs, légèrement battus
60 ml (1/4 tasse) de compote de pommes, non sucrée
80 ml (1/3 tasse) de lait
3 pommes
PRÉPARATION
- Placer la grille au haut du four. Préchauffer le four à 200 °C (400 °F). Couvrir deux plaques à biscuits de papier parchemin.
- Dans un bol, mélanger les flocons d’avoine, la farine, la poudre à pâte, la cannelle et le sel. Réserver. Dans un autre bol, à l’aide d’un batteur électrique, mélanger le beurre et la cassonade jusqu’à consistance onctueuse. Ajouter les oeufs et la compote de pommes, et battre jusqu’à ce que le mélange soit homogène. Incorporer le lait et mélanger à l’aide d’une cuillère en bois.
- Peler et râper les pommes, et les intégrer immédiatement au mélange de beurre et de cassonade à l’aide d’une cuillère en bois. Verser cette préparation sur les ingrédients secs et mélanger délicatement pour bien humecter le tout.
- À l’aide d’une cuillère, disposer sur la plaque 30 ml (2 c. à soupe) de pâte par biscuit en laissant 2,5 cm entre chacun. Cuire au four, environ 10 minutes, jusqu’à ce que la base des biscuits soit dorée. Laisser tiédir sur la plaque, puis transférer sur une grille de refroidissement.
Variantes
Ajouter 125 ml (1/2 tasse) de raisins secs ou de dattes hachées
Entrevue accordée pour le Journal de Montréal à propos d’un CPE de Laval qui diminuera la viande le 23 juin 2015
Après des mois de réflexion et de travail, entremêlés de quelques moments de procrastination, je suis fière et heureuse de vous présenter stephaniecote.ca!
stephaniecote.ca rassemble mes collaborations avec les médias et présente du contenu original en lien avec l’alimentation des enfants, des familles et des sportifs de tout acabit. En plus des nombreux articles et vidéos paru dans divers journaux, magazines, sites Web et émissions de télévision au cours des derniers mois, je vous offre de nouveaux textes, dont:
- Entraînement à 18h: on mange quoi avant?
- La vérité sur l’alcool
- 10 trucs pour faire manger des légumes aux enfants
Puisque stephaniecote.ca c’est moi, il ne serait complet sans un espace dédié à la course. Mon blogue de coureuse débute avec un texte personnel sur les raisons qui me poussent à courir: Ici et maintenant. Je vous confie comment elle est pour moi rien de moins qu’une bouée de secours.
Vous avez des questions, des commentaires, des suggestions? Je serai heureuse de les entendre. Vous avez besoin de mes services? Je serai honorée de vous aider. Écrivez-moi à info@stephaniecote.ca
N’hésitez surtout pas à partager mes contenus.
Bonne visite. Revenez me voir!
Plusieurs personnes croient que les enfants ne sont pas faits pour aimer les légumes.
Mais c’est faux. Complètement faux! Je crois que face aux légumes, il y a deux catégories d’enfants:
1- ceux qui les aiment
2- ceux qui les aimeront bientôt
Avec ces 10 trucs et un peu de temps, je suis certaine que vous partagerez ma théorie!
1. Un moment gagnant
En attendant que le repas soit prêt, alors que les enfants sont en train de mourir de faim (oui oui, mourir, c’est ce qu’ils disent), on peut éviter le pire en leur donnant à manger pour patienter. Les légumes sont la meilleure option, car ils calment la faim tout en laissant de la place pour le repas. De plus, ça augmente les chances que les enfants mangent des légumes, car s’ils se retrouvent dans l’assiette avec tout le reste, ça se peut qu’ils soient boudés.
Les crudités de légumes sont les plus simples, avec ou sans trempette. Variez les sortes. Une salade ou un potage sont aussi de bonnes façons de manger les légumes en entrée.
2. Deux légumes différents au menu
Choisissez deux légumes plutôt qu’un pour accompagner le repas. Les enfants voient d’un meilleur oeil deux petites portions de légumes plutôt qu’une plus grosse d’un seul. Ça augmente également les chances qu’ils en trouvent un de leur goût, en plus de faire plus de couleurs dans leur assiette.
3. Des aide-cuisiniers
Les enfants qui mettent la main à la pâte sont plus motivés à goûter les aliments qui composent le repas. Cuisiner stimule leur intérêt et leur curiosité envers les aliments, en plus de leur permettre de se familiariser avec eux.
4. Des voleurs de légumes
Que vos enfants apprêtent les légumes ou qu’ils rôdent autour pendant que vous le faites, il se peut fort bien qu’ils en mangent. À la blague, dites-leur de ne pas vous voler des légumes. Ils le feront encore plus… et c’est tant mieux. Ce n’est pas grave qu’ils mangent une ou deux portions de légumes avant le repas. C’est une façon pour eux de les découvrir dans le plaisir.
5. Des cultivateurs
Semer des graines de radis, s’occuper d’un plan de tomates, arracher des carottes de la terre, ou écosser des petits pois stimule l’intérêt des enfants pour ces aliments. À la campagne comme à la ville, c’est possible d’avoir un jardin. On peut même cultiver des légumes dans des bacs sur un balcon.
6. Des petits boss
La plupart des enfants aiment avoir leur mot à dire. Parfait! Demandez-leur de choisir le légumes qui accompagne la grillade, le pâté chinois ou le poisson. Même chose à l’épicerie: confiez-leur la mission – une mission, c’est encore plus le fun – de choisir quelques uns des légumes que vous mangerez au cours de la semaine.
7. Pas de bataille
Les enfants prennent parfois beaucoup de temps avant d’apprécier certains aliments. Ils développent leurs goûts, et ça doit se faire dans une ambiance positive afin qu’ils associent les aliments à une expérience agréable. Mettez une minuscule quantité d’un nouveau légume ou d’un légume mal aimé dans leur assiette, et laissez-les décider d’y goûter ou non. Ça viendra, c’est promis (avant qu’ils partent en appartement)!
8. Comme maman et papa
Vos enfants vous observent et vous imitent, vous l’aviez remarqué. Jouez votre rôle de modèle à table en mangeant avec appétit et plaisir. Dites-leur que vous aimez le croquant du chou-fleur, la saveur sucrée du poivron rouge, la douceur de la courge ou l’explosion de la tomate cerise lorsque vous la croquez. Votre enthousiasme sera contagieux!
9. Des minis légumes
Mini rime souvent avec mignon. Qu’est-ce qui remporte la faveur des enfants, selon vous? Des lanières de poivron ou des minis poivrons? Des rondelles de concombre et des concombres libanais? Des tranches de tomates ou des tomates cerises?
Continuez d’offrir des légumes de tout format à vos enfants, mais ayez une petite pensée pour les minis à l’occasion.
10. La bonne cuisson et les bons assaisonnements
Je ne veux surtout pas insinuer que les légumes que vous préparez sont trop cuits, fades ou d’une couleur douteuse! Il nous est tous arrivé de servir des courgettes molles, du chou-fleur qui ne goûte rien ou du brocoli vert olive. On a beau aimer les légumes en question, s’ils ne sont pas réussis, on va momentanément changer d’avis.
Explorez les recettes de légumes pour connaître divers modes de cuisson et assaisonnements. C’est si bon quand c’est bon, des légumes!
Bientôt en lien avec ce sujet:
Des bonhommes dans l’assiette: tout un contrat
Camoufler les légumes: les pours et les contres (Des légumes incognito)
Entrevue accordée à radio-canada à propos du changement étiquetage des aliments le 19 juin 2015
Ketchup dans l’assiette des enfants: un peu, beaucoup ou pas du tout?
Cette vidéo a été produite par l’équipe de Nos petits mangeurs d’Extenso. Toute la série est disponible sur nospetitsmangeurs.org.
L’enfant sait naturellement écouter ses signaux de faim et de satiété. Pour l’aider à conserver cette précieuse aptitude, voici ce que l’on doit éviter.
Cette vidéo a été produite par l’équipe de Nos petits mangeurs d’Extenso. Toute la série est disponible sur nospetitsmangeurs.org.
Il est normal qu’un enfant hésite à manger, ou même à goûter, certains aliments. On appelle cela la néophobie alimentaire. Voici ce qui l’aide et ce qui lui nuit à découvrir les nouveaux aliments.
Cette vidéo a été produite par l’équipe de Nos petits mangeurs d’Extenso. Toute la série est disponible sur nospetitsmangeurs.org.